Lorsque j’ai terminé de saisir la bibliographie de Cézembre, je me suis rendu compte que le manuscrit, dont le format électronique était inchangé depuis le jour où je l’avais ouvert, trois années plus tôt, faisait 555 pages.

Ma foi.

C’est le nombre de sonates composées par Domenico Scarlatti, et il était difficile de ne pas être (profondément) troublée par la coïncidence. J’ignore quelle était la probabilité statistique pour qu’un tel événement puisse se produire.

Au bout du deuxième jeu d’épreuves, le fameux manuscrit coupé, retravaillé, relu, corrigé trois fois et composé dans son format de destination, faisait encore 554 pages.

Victor Hugo a fait le reste.